Participation au projet d’études sur la restauration de Notre-Dame
Étudiants et enseignants de l’ESB participent au projet d’études universitaires de la restauration de la charpente de Notre-Dame de Paris, lancé par l’association Restaurons Notre-Dame.
Un projet d’études pour la restauration de Notre-Dame
L’association Restaurons Notre-Dame a fait appel aux acteurs universitaires spécialistes des sciences et technologies du bois pour mener à bien un projet d’études sur la restauration de la charpente et de la flèche de la cathédrale incendiée en avril 2019.
Il rassemble 4 grandes écoles en France et en Allemagne dont l’ESB.
Répartie en six thèmes distincts, l’étude permettra d’élaborer différents scénarios de restauration et d’alimenter les comités d’experts.
Qualité et impact environnemental au cœur des études menées à l’ESB pour la restauration de Notre-Dame
Pour l’ESB, c’est une formidable opportunité de contribuer à une aventure tout à la fois pédagogique, technologique, patrimoniale et historique !
Une dizaine d’élèves-ingénieurs sont mobilisés, depuis début octobre, dans le cadre de deux projets de 3ème année. Ils traitent plus particulièrement des thématiques environnementales et de la qualité du bois.
En effet, les étudiants, encadrés par les enseignants, investigueront deux sujets :
- L’analyse du cycle de vie de la charpente – sous la direction de Francesca Lanata et Franck Michaud, enseignant-chercheurs. En collaboration avec une équipe de l’ENSTIB/Architecture Nancy.
- L’évaluation non destructive des caractéristiques mécaniques des grumes – sous la direction de Jérôme Moreau, enseignant-chercheur. Avec la participation d’étudiants de Bordeaux Sciences Agro.
Stéphane Bern adresse ses encouragements aux étudiants et enseignants
Petit clin d’œil à l’attention des étudiants et enseignants embarqués dans l’aventure, Stéphane Bern, membre d’honneur de l’association Restaurons Notre-Dame, adresse ses encouragement en vidéo
« L’Union des savoirs des anciens bâtisseurs à la modernité de nos connaissances et de nos moyens actuels sera nécessaire pour affronter ce chantier du siècle, suivi dans le monde entier (…). »
